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La dernière confession de Jean-Jacques Rousseau

Date : 15.03.2025

Début : 20:00 (durée : ~1 heure et 35 minutes)

Lieu : Association Culturelle La Tuffière - Salle de La Tuffière

  Mercredi 1er juillet 1778.


À la veille de sa mort Rousseau éprouve le besoin de livrer ses pensées, sereines ou douloureuses, souvent avec humour, à sa femme la lingère Thérèse Levasseur, fidèle complice qui a partagé ses errances, ses persécutions, ses créations littéraires, musicales et philosophiques. Rousseau entend des voix d’outre-tombe, celle rassurante de son père Isaac qui l’a élevé à la mort de sa mère. Et aussi celle de Voltaire mort un mois avant lui, Voltaire dont la haine l’affecte encore, en raison de leur vision du monde radicalement opposée.


Rousseau ne cesse de mettre en pratique sa devise : « Consacrer ma vie à la vérité ». Et c’est dans la lumière du matin qu’il rejoint « l’Être parfait qu’il adore ».


Cette pièce écrite et interprétée par l’auteur, metteur en scène et comédien fribourgeois Jean Winiger, aux côtés de Lydie Souhait, procure au public un moment de bonheur suspendu. La mise en scène délicate et subtile de Lorianne Cherpillod donne chair à ce texte qui met en lumière toute la profondeur, l’universalité et l’incroyable modernité de ce fervent défenseur des Droits de l’homme et de la liberté de penser !

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Mercredi 1er juillet 1778.


À la veille de sa mort Rousseau éprouve le besoin de livrer ses pensées, sereines ou douloureuses, souvent avec humour, à sa femme la lingère Thérèse Levasseur, fidèle complice qui a partagé ses errances, ses persécutions, ses créations littéraires, musicales et philosophiques. Rousseau entend des voix d’outre-tombe, celle rassurante de son père Isaac qui l’a élevé à la mort de sa mère. Et aussi celle de Voltaire mort un mois avant lui, Voltaire dont la haine l’affecte encore, en raison de leur vision du monde radicalement opposée.


Rousseau ne cesse de mettre en pratique sa devise : « Consacrer ma vie à la vérité ». Et c’est dans la lumière du matin qu’il rejoint « l’Être parfait qu’il adore ».


Cette pièce écrite et interprétée par l’auteur, metteur en scène et comédien fribourgeois Jean Winiger, aux côtés de Lydie Souhait, procure au public un moment de bonheur suspendu. La mise en scène délicate et subtile de Lorianne Cherpillod donne chair à ce texte qui met en lumière toute la profondeur, l’universalité et l’incroyable modernité de ce fervent défenseur des Droits de l’homme et de la liberté de penser !


  


Bord de scène avec l’auteur et comédien Jean Winiger après la représentation.